Tout commence à Maillard. À Unys, il fait beau. Pas comme à Sinnho. Je n’ai pas aimé mais pas du tout : Il pleut tout le temps, et les champions sont désagréables. Une fois ils m’ont battu...
Bref, au bar il ne manque pas de dialogues ni de sujets.
« En ce moment, tout va mal... Je ne suis que boulanger... Ma femme veut me quitter, et elle ne gagne pas beaucoup... Heureusement, on n’a pas de môme...
-Chacun ses problèmes. Moi, je ne gagne pas plus... J'suis encore dans le tiers monde...
-... Moi, aucun problème. J'suis le marchand d 'vin. »
Roland, Richard et Joe discutent, Comme tous les jours au bar. Ils se parlent, rigolent.
Ce jour-là, un événement surprenant dans le calme arrive d’un coup d'jet d’eau.
« OK TOUT LE MONDE LES MAINS EN L’AIR ! » Annonce brutalement une personne qui braquait le bar avec deux mitraillettes dans la main.
Le barman (Joe) pris d’angoisse, ne bouge pas.
« File-moi la caisse !
Joe : D’accord...
-Allez, grouille ! »
Puis soudain, on entendit « ALARME SILENCIEUSE ENCLENCHER »
Joe : « Oups...
-QUOI ?!! Tu te fiches d 'moi .!
Et le braqueur a tiré. Joe, une balle dans le crâne, mourut. En baissant ma tête, je me suis dit qu’avec le temps, je pourrais lui piquer son arme. Et c’est ce
Que j’ai fait !
Roland (moi) : « Rend-toi ! Dis-je avec son arme.
-Tu n’oserais tout de même pas .!
Roland : Tu vas voir !
Et le braqueur, meurt, quatre balles dans le corps.
Richard : « que-quoi ? Tu es un meurtrier !
Roland : -Pas tout à fait. »
Et les personnes présentes dans le bar, se mirent à applaudir devant mon courage. Richard lui, pensait que j’étais une personne dangereuse. Et le sang qui dégoutait la serveuse snack est devenu un symbole qui restera dans les annales. Les annales de Maillard.
Roland : « bon, je crois que je vais y aller moi !
-Euh monsieur, je peux avoir un autographe . Demande un témoin de la scène.
Roland : Pourquoi ?
-Vous nous avez sauvé. Nous vous devons tout.
Roland à Richard : Tu entends . Je suis un héros !
Richard : un héros certes mais meurtrier
Et la police est arrivée ! On courut ! Mais, choppé !
« Allez hop ! Au trou !
-Euh, monsieur l’officier, il nous a sauvé !
-Sauvé de quoi ! Il a tué !
-Il a tiré sur le braqueur !
-Il est toujours un meurtrier !
-Tant pis ! Tenez monsieur ! Vous êtes un héros !
Et il enfin ils me donnèrent de l’argent, beaucoup d’argent ! Depuis ce jour, ma boulangerie vend !
Mais, première richesse premier ennui !